
Commençons par la mauvaise nouvelle. Les cas de maltraitance chez les très jeunes enfants ont bondi au Québec. Les services de protection de la jeunesse rapportent une hausse de 27 % en moins de 10 ans des signalements jugés fondés concernant des enfants de 5 ans et moins, révèle une étude obtenue par La Presse. Et ce n’est que la pointe de l’iceberg, préviennent les experts.
Les enfants sont-ils plus nombreux à être maltraités, ou les adultes sont-ils simplement plus enclins à contacter la DPJ ? (...)
L’attention médiatique s’est portée récemment sur la disparition de jeunes filles, notamment à Laval. On a visé les Centres jeunesse où les mesures d’encadrement ne seraient pas adéquates, selon certains. Or, Le Courrier du Sud nous apprenait que le Centre jeunesse de la Montérégie a enregistré deux fois plus de fugues qu’à Laval depuis trois ans.
Selon les chiffres fournis par le Direction des jeunes et des familles du ministère de la Santé et des Services sociaux, un total de 4098 fugues se sont (...)
Le temps des Fêtes est une période de l’année où les émotions peuvent être particulièrement exacerbées. Pour les uns, ce sera une occasion de festoyer mais pour d’autres, c’est plutôt la frustration et la tristesse qui prendront place, peu importe l’âge.
Alors que certains enfants crouleront sous les présents, d’autres, moins favorisés, se demanderont s’ils auront au moins « un » cadeau pour Noël. Or, il est possible de combler ce vide.
Pour une cinquième année consécutive, le Centre de santé et de services (...)
Pierre Bruneau a accepté d’être le porte-parole d’un colloque qui marquera le 20e anniversaire de l’organisme maskoutain Les amis du crépuscule qui a pour mission l’accompagnement de personnes qui sont confrontées à la mort.
On sait que le lecteur de nouvelles de TVA s’implique socialement depuis la mort de son fils Charles, décédé du cancer en 1990. Dans la vidéo de présentation que vous retrouverez au bas de cette page, Pierre Bruneau affirme qu’il a accepté cette invitation puisqu’il a été « heureux (...)
Un enfant de dix ans qui a grandi dans la pauvreté porte déjà des séquelles qui l’affecteront toute sa vie. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est Louise Séguin de l’Institut de recherche en santé publique de l’Université de Montréal.
Dans un article paru récemment dans Le Devoir, la chercheuse affirme que la pauvreté, vécue en bas âge, laisse des marques indélébiles sur la santé physique et mentale.
« Asthme, infections respiratoires, retards de croissance, troubles de comportement ou mentaux ; les enfants qui (...)
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