
C’est le mercredi 1er novembre que débute la campagne de vaccination contre la grippe. Malheureusement, depuis quelques années, certains s’interrogent sur son efficacité. Même des experts sont perplexes.
Dans un [reportage diffusé récemment à TVA. l’épidémiologiste à l’Institut nationale de santé publique du Québec, Gaston Desserres, estime qu’il faudrait investir davantage pour développer un meilleur vaccin.
Lors d’une saison où c’est la souche virale de type H1N1 qui domine, le vaccin a une protection de (...)
Une dame de la Montérégie écrivait récemment sur un réseau social qu’elle avait vu un avion passer à basse altitude dans son secteur. Elle s’en inquiétait. Il y a de bonnes chances qu’elle ait assisté à une opération d’épandage aérien du vaccin contre la rage du raton laveur.
C’est que depuis le 20 août, le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs du Québec procède à l’épandage aérien d’appâts vaccinaux sur les territoires de la Montérégie et de l’Estrie dans le but de maintenir et de renforcer (...)
On n’y échappera pas, l’hiver arrive à grand pas. Et qui dit hiver, dit virus de l’influenza. Autrement dit, le retour de la satanée grippe.
Le CISSS de la Montérégie-Est (territoire Richelieu-Yamaska) nous l’a rappelé, la semaine dernière, par un communiqué indiquant qu’on est à la recherche de bénévoles pour la campagne annuelle de vaccination contre la grippe.
Cette année, cette campagne aura lieu du lundi 2 novembre au au vendredi 27, toujours aux Galeries Saint-Hyacinthe. Un horaire est établi par (...)
Avez-vous attrapé la grippe même si vous étiez vaccinés ? Dernièrement, j’ai rencontré quelques personnes qui vivaient cette situation. Doit-on s’en étonner ?
Le problème, c’est que les spécialistes qui ont concocté le vaccin de cette année ont partiellement raté leur cible. Ce sont des choses qui arrivent, paraît-il. Il y a une base de science et de probabilités, mais il y a aussi le facteur hasard qui entre en ligne de compte.
On estime que le taux optimal de protection pour un vaccin est d’environ 70%. (...)
C’était au début des années 60. Dans ma petite école primaire de Saint-Hyacinthe, il y avait de la tension dans l’air. Cette journée-là, tous les enfants allaient se faire vacciner.
Comme les autres, j’attendais en ligne sous la surveillance des religieuses. Je voyais mes petits camarades se faire gratter un petit cercle sur le haut du bras. Une plaie sanguinolente en émergeait qui allait éventuellement se transformer en gale. Les enfants revenaient, le visage crispé de douleur, retenant bravement (...)
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